NEUROTIC SWINGERS "ArtRats" CD/LP (10 tracks - Lolli30) :
CD 15 Euros / LP 15 Euros (Ppd)

1.Party Killer 2.I'm just losing my soul 3.Night riders 4.Girl in a broken car 5.See that girl again

6.Go back home 7.Shake Me (I'm gonna crack) 8.Straight 9.Nineteen (D.Laboubee) 10.Generation Shock

Sound

PRESS

FRENCH : Punkrawk / Melodick / X-Rock / Abus Dangereux / Rock&Folk / Rocksound / Marseillaise / Ventilo / Tous En Tong / Rudeboi / L'Oreille du Leviathan / 442eme Rue / Concert & Co /

ENGLISH : NFT / Oor / Maximum Rock & Roll (Column) / Now Wave / Psychotic Reaction / Ear Candy /

GERMAN : Ox / Moloko Plus /

SPANISH : No Tomorrow /

Netherlands : Oor /

PUNKRAWK N°13 Octobre 2003

Cette rentrée de sptembre est marquée en France de deux pierres blanches, les albums monumentaux de Jean-Louis Murat et Neurotic Swingers ! Deux disques qui méritent d'être écoutés de tous. Ici, c'est évidemment le Neurotic Swingers qui accapare notre attention. Les dix diamants de ArtRats sont un des plus beaux hommage jamais rendus aux années 76/77; cela dit, on peut lui adjoindre le Hit After Hit des Briefs et le Guitar Romantic des Exploding Herats; avec ArtRats, on tient là un triptyque d'anthologie. Chef d'oeuvre (PF)

MELODICK Octobre 2003

La pochette, et ses couleurs Malabar, ne cesse de me poser questionnement, mais l’art ne se discute pas dirons nous, alors je ne m’étendrais pas. Surtout que le contenu fait oublier ceux à qui le chewing gum colle de l’aérophagie. Quasi un an après sa fortuite formation, NS est sur les routes, produit du splits et un long play. Plus varié qu’on aurait pu le croire d’après le style proposé, les dix titres s’avalent comme la Harley de Peter Fonda avalait les kilomètres de bitume, ou comme ma voisine (bon, enfin…). Peu de doublons (Night riders figure sur le split avec Kevin K) et Nineteen est un morceau emprunté aux regrettés Dogs. Possédé par un punk rock plutôt influencé par les Devils Dogs, les Briefs, (et le rock des années 80 « Straight / Girl in a broken car) les marseillais possèdent déjà avec cette album une insolente maturité et hissent des titres comme « Party killer / Just losing my mind » au niveau des tubes. Cette fois ci encore Lollipop prouve qu’il est un label de qualité. Et n’oubliez pas d’envoyer vos sous à Lollipop (en achetant ses disques) si vous ne voulez pas ajouter son nom à la liste des labels disparus…merci. 4/5 (Bob Morlock)

X-Rock N°2 Octobre 2003

Dès le premier numéro de X-Rock, nous avions pressenti, interview à l'appui, que le disque à venir allait arracher. Loinde décevoir, "Artrats" est largement un ton au-dessus de la tornade annoncée. Les Marseillais ont réduit la voilure à 10 titres. Courte distance pour maximum d'impact ! Les Swingers objectent pour leur défense que les albums des Briefs ou des Exploding Hearts sont eux aussi, relativement brefs. "Artrats" se propose de délivrer sur un tempo soutenu aux confins du punk, côtoyant les Dead Boys, Damnedn voire Angry Samoans. Que les USA leur fassent les yeux doux, n'a rien d'extraordinaire, écoutez le disque, vous comprendrez pourquoi. 8/10 (Patrick Foulhoux) Classé 20eme meilleur album de l'année 2003

 Abus Dangereux N°84 Oct-Nov 2003

Les Neurotic Swingers se posent décidément comme les hériteiers directs des Dogs première époque ! Qui non contents de saluer ici Dominique Laboubee comme il se doit en reprenant "19", l'évoquent à plusieurs reprises via leur chanteur dont les intonations rappellent souvent les années d'or de feu le leader des Rouennais. Mais les Swingers ne se résuement pas qu'à ça et font feu de tout bois sur du punk'n'roll vielle école, me seul qui vaille vraiment, avec un tranchant à faire passer le rasoir de votre barbier pour une vulgaire pierre ponce. D'obstinés sauvages qui emboutissent dix titres impeccables tant mélodiquement que soniquement. Le tout, avec une conviction et un savoir faire qui devrait les rapprocher un peu plus encore du haut de l'affiche. Du tout bon !! (Alain Feydri

ROCK&FOLK N°435 Novembre 2003

Pas compliqués mais résolument efficaces et viscéralement rock : telle pourrait être la devise des Neurotic Swingers. Depuis 2001, ces quatre Marseillais se sont mis au service du glam punk rock & roll et entretiennent depuis ce sentiment d'urgence qui les avait poussés à enregistrer un huit titres à peine six mois après leur rencontre. Ce nouveau disque se présente comme un véritable album... puisqu'il comprend 10 titres mais, comme il n'est pas question de se laisser aller au remplissage ou de baisser la garde tu rempo trépidant, il ne dépasse pas les 25 minutes. Les amateurs du genre ne peuvent que se réjouir du résultat : concision, virulence et énergie y règnent en maître en s'appuyant sur une élégance qui transparaît à travers l'impact mélodique des brûlots sonores et l'hommage aux Dogs via la reprise "Nineteen" (HM)

ROCKSOUND N°116 Octobre 2003

D'une galéjade de comptoir, les Marseillais ont fait de Neurotic Swingers un groupe à la pointe du punk, et ce, en l'espace de 2 mini-LP's. 10 titres, au rythme où vont les choses avec les phocéens, il serait présomptueux de parler d'un véritable album. Pour ce qui est du visuel, les Neurotic font un clin d'oeil aux Pistols et aux Briefs. Quant à l'essentiel, la musique, ils rendent hommage à ce et à ceux qui ont bati le punk-rock. Pour situer, "ArtRtas" se tient à droite de "Hit After Hit" des Briefs. autant dire que passer une soirée en compagnie de ces deux énergumènes, téléporte quelques 26/27 ans en arrière. Ce second témoignage démontre de manière irréfutable, qu'en Neurotic Swingers, la France détient une richesse minère facilement exportable, des transactions sont en cours et des contrats déjà signés. Ce n'est pas un hasard. Si la version disque est tonitruante, la version live est flamboyante. Empressez-vous d'écouter ce disque et de découvrir le groupe sur scène. Chaud bouillant. 8/10 (Patrick Foulhoux)

Ventilo N°73 Octobre 2003

Dix morceaux dont une reprise en hommage aux Dogs. Voilà la nouvelle livraison des Neurotic Swingers qui sera dans les bacs le 25 octobre. Ces Marseillais ont un son et une hargne propres aux meilleurs groupes punk anglais de 77 (Wire, Buzzcocks). Car c'est bien du punk-rock le plus pur dont il s'agit ici... Une rythmique implacable martèle le terrain où deux guitares tournent, mordent ou griffent, décochant des riffs secs et nerveux comme un coup de trique sur un ulcère variqueux. Avec les Neurotics, ne vous attendez pas au moindre flirt avec le disco, le hard ou la pop délayés à la sauce punk, comme le font tellement de groupes afin de rattraper le brouhaha médiatique autour de la résurrection du rock en général, et du punk en paticulier. Ils n'ont certainement pas la prétention d'inventer quoi que ce soit, mais peuvent tenir sans complexe leur place sur une scène punk qu'ils servent dignement. Préparez vous çà vous fâcher avec vos voisins car Artrats s'écoute souvent et très fort ! One Two Three Four (Rémi Sébaoun)

Tous En Tong Novembre 2003

C’est après un concert explosif et arrosé de leurs groupes respectifs que 4 gars décident, autour d’une énième bière de monter un nouveau groupe glam rockn’roll. Et c’est ainsi que Pascal (guitariste des Gasolheads), Raph (bassite de Dollybird), Mathieu (batteur de Sugarfix) et Stéphane (guitariste et boss du label Lollipop) donnent vie aux Neurotic Swingers. Même venant de Marseille, on pouvait se douter qu’avec de tels antécédents, les lascars n’allaient pas donner dans le hip-hop ou le ska festif. Ils s’enferment quelques temps dans un garage phocéen pour mettre sur pied l’album Artrats, faisant suite à quelques vinyles sortis avec le label nippon Myrmecoleo records. Au programme, 25 minutes de sueur dégoulinante des amplis, soit 10 titres de punk-rockn’roll garage impeccablement réalisés. De «Party killer» à «Generation shock», les swingueurs névrosés déballent leur rock sauvage et intrépide, fiers de l’ingurgitation successive de plusieurs années de RnR, avec une préférence pour la fin des années 70. Les Saints, Damned et Only Ones y croisent les Turbo AC’s, les New bomb turks et bien sûr leurs compatriotes TV Killers, Man made monster ou le Jerry Spider gang. Les Marseillais restent fidèles à leurs aînés mais savent varier les plaisirs : on les retrouve plus suaves, plus glam sur «Straight» ou «Girl in a broken car» et carrément déjantés sur l’excellent «Night riders», titre qui rivalise d’efficacité avec leurs maîtres penseurs. A ceux qui avaient enterré le rockn’roll, les Neurotic Swingers répondent avec une bonne claque dans la gueule. On les attend de pied ferme sur scène pour ressortir le vieux cuir, faire gicler notre mousse, siffler comme des porcs et balancer des «Yeah baby !» à s’en déchirer les cordes vocales. (François)

Marseillaise 16 Octobre 2003

Le combo punk rock marseillais célèbre demain, en son repaire de la rue Jean Roque, la sortie d'un second album aussi bref que cataclysmique. Faire-part.

Et donc, partant de l'adage bien connu qui veut que les plaisanteries les plus courtes soient les meilleures, les Neurotic Swingers tombent aujourd'hui le masque; plus question pour la double paire de doux-dingues issue des 4 points cardinaux de la planète punk marseillaise (Gasolheads, sugarfix, Gasolheads et Lollipop) de continuer à feindre au rassemblement éphémère de fieffés tocards s'amusant, histoire de passer le temps, à ânonner les mêmes trois accords sur des guitares tombées d'un camion : désormais, comme pris à leur propre jeu, les Neurotic Swingers sont un vrai putain de bon groupe tout ce qu'il y a de plus permanent, et s'il n'était qu'un coup de poin,g dans la figure pour vous en convaincre, le second album qu'ils publient ces jours-ci en constituerait la preuve marquante.

Oh certes, on ne chutera pas de l'armoire à l'écoute de Artrats, tant l'opus est fidèle aux canons du genre : incisif autant que carnassier, jubilatoire autant qu'irristible et autant cataclysmique que bref. Garni de couleurs qui ne sont pas sans rappeler celles du fameux Nevermind... des sex Pistols, arytrats est une troussée sauvage et dérisoire, en dix chansons (dont la reprise du 19 des Dogs) et même pas 25 minutes chrono; le style d'épopée physique et sanitaire dont vous voius relevez les genoux flageolants et la bave au menton. On aura compris :Artrats est un albim nourri de Dolls, Ramones, Saints et Damned, qui déchire tout sur son passage, en restant si puissamment mélodique qu'il n'est nul besoin, pour en profietr de mettre les potards de sa chaîne hi-fi à pleins tubes.

Un conseil qui sera évidemment battu en brèche demain soir à la Machine à coudre, la salle mythique de la rue Jean Rawk ne pouvant décemment pas mégoter pour l'occasion, son lot de décibels -ce d'autant que le carré magique entretient actuellement une patate d'enfer, chauffé à blanc qu'il est par une tournée européenne les ayant vu promouvoir leur opus de Hambourg à Berlin, en passant par Vienne ou Ljubljana, et enchaînant à compter de jeudi prochain u ntour de France qui s'achèvera à Paris le 30 Novembre. (Dominique Keller)

RUDEBOI Octobre 2003

Je qualifierais ce disque de French punk'n'roll aux larges influences du son 77. Ce groupe affiche des références pas piquées des hannetons : Thunders, Devil Dogs, Saints, Boys, Barracudas, Dogs, Clash, Damned, NY Dolls, Ramones et autres Dead Boys, le pire étant qu'il les tiennent et parviennent même a imposer leurs points de vue faces à ces grands noms !Lle disque commence par le mega ultra tubesque "party killer" qui est vraiment mortel. Et l"album est vraiment dans la lignée de ce tube ! foutredieu ! faut il aller vers le Rock'n'roll pour trouver des groupes punks dignes de ce nom ? Une voix punk, une basse ultra puissante, une guitare aux sons et solos de boucherie, une caisse claire donnant a ce disque une touche en plus (the Caisse Claire touch ! ?) et ce quatuor est bien parti pour redonner ses lettres de noblesses a une scène punk française lancinante. Un vrai disque parfait sur plus d'un point qui va faire des jaloux ! ?Olivier-

L'Oreille du Leviathan Octobre 2003

Le rock'n'roll a beau être sacré, c'est une institution a laquelle on ne touche pas... J'ai même entendu une légende d'un punk ayant voulu le renier et qui aurait été foudroyé sur place sans avoir eu le temps de finir sa phrase !! Ce qui n'est aucunement le cas ici vu que le rock c'est plus de 50% du travail dans ArtRats.

Neurotic swingers c'est quatre mecs qui font du punk version 77 et qui font ça bien !! Dans cet album on épure la masse et on y laisse la base d'un grand skeud; c'est à dire une rythmique basique et entêtante; une mélodie qu'on siffle pendant toutes la journée et une partie solo dans les aiguë bien rock'n'roll. Tout ce qu'il faut pour vous laisser sur le cul !! Et sur les dix titres qui composent cet album il n'est aucunement question de casser le rythmes. Les marseillais enchaînent tubes sur tubes et envoient du bois comme pas deux (comme on dit dans le Pas de Calais), Le genre d'album qui te laisse sur les rotules mais ou t'en redemande encore et toujours !!

C'est ça le problème quand on est inspiré par des mecs comme les Heartbreakers ou les Ramones; c'est qu'on laisse pas le temps au gens d'aller aux chiottes ou de manger alors ils se laissent aller et plus personne vient les voir (à part les flics pour leur demander de baisser la zique). Vous croyez que c'est bien pour notre belle jeunesse ?? Hein j'vous l'demande !! Faites comme si je prenais une voix grave et qu'a la manière d'un message subliminal je vous disais "ce disque est aussi fluo que sa pochette, c'est vous dire si ça vos l'coup de faire péter le phonographe !!" (8-6 power)

442eme Rue Décembre 2003

Neurotic Swingers c'est le groupe de Stéphane. Selon la légende réuni un soir de party particulièrement arrosée et abondamment pourvue en musique de qualité, on a connu pire comme rencontre. "Artrats" est le second album du groupe. Mais là où "What's your definition of underground ?" se posait en véritable brulot punk à l'urgence foutraque et mal maîtrisée, cette nouvelle galette, si elle est toujours punk, évidemment, fait désormais la part belle à un punk plus près des racines, genre 76-77 s'il faut tout vous dire. Y a toujours de l'énergie làdedans, mais y a aussi des morceaux diablement bien troussés, des trucs qu'on peut même chanter sous sa douche un lendemain de fiesta carabinée. En gros, Neurotic Swingers n'ont pas oublié le côté pop du punk, à la manière des Damned, des Ramones ou des Buzzcocks. Du coup, il y a une sacrée fraîcheur dans ces 10 titres (mieux vaut la qualité à la quantité), et une diversité qui évite une linéarité qui, si elle peut parfois servir le propos, peut aussi bien rebuter. Pas de çà chez Neurotic Swingers (écoutez cette merveille mid-tempo qu'est "Girl in a broken car", vous m'en direz des nouvelles), ils ont su allier énergie et nuances, hargne et savoir-faire. Pas mal les gars.

Concert & Co Décembre 2003

On avait déjà été passablement impressionné par leur premier EP (What’s your definition of underground) ; les revoilà avec un vrai premier album qui s’il continue à obéir à certains canons du genre (comme la taille des morceaux - le plus long faisant 3 min 25) s’en distingue par un cote plus rock (je veux dire par la moins punk) qui rend ce disque accessible à un public plus large. Attention je ne suis pas en train de dire que le groupe s’est ramolli ; n’oublions que de part la provenance des différents protagonistes, il s’agit l à d’un concentré de quelques uns des meilleurs groupes de rock qu’ait engendré Marseille … Le disque commence par un Party Killer très accrocheur expédié en 1min23. Plus proche des Clash que de Offspring (avec parfois des petits accents à la Greenday) on se délectera du double chant (Stéphane venant parfois prêter main forte à Raphaël) comme sur l’excellent Just Losing my soul ou sur Night Riders. Girl in a Broker Car plus hachée est peut être le titre que je préfère sur les dix, avec son chant mi cri mi gémissement. N’oublions pas de tirer un coup de chapeau a Mathieu et Pascal qui tout au long de ce disque nous assènent respectivement martèlement et riffs acérés, à nous couper le souffle ! (Pirlouit)

NFT Octobre 2003

This is my top record of the year!!! This is shit hot right down to the cover art and everything. It’s just straight fucking punk rock, not fucking streetpunk, not fucking hardcore punk, not fucking anything but Punk. It's fucking fantastic. Forget about November and December...ain't nothing gonna come along better than this. This album should be a necessary Christmas gift... (Marco)

Oor November 2003 (English Review)

There seems to be a worlwide competition going on of: who can walk away with the Devil Dogs inheritance? The Neurotic Swingers seem to give it a go to that title. But fortunately for them and for us, they do more than just playing the classics on their first full length album. Writing good songs for example and presenting them in a way that the punkrockbeat falls in the exact right time. Anyway; these guys are no idiots. Even about the guitartransformations they thought endlessly. For every song they change the "Big Muff" just a bit. This prevents platitudes and unpleasant tastes. The biggest trump of the band is frontman Steph Lollipop, who has a really good and exceptional voice for this kind of music. Punkpathethiek, the better drama, pure and dirty screams, this briljant screemingmotherfucker knows how to dose it all perfectly. A superband. (Nanne Tepper. Big Thanks to Joe Wiseguy for the english translation)

Maximum Rock&Roll Dec 2003 (Column)

  " Goddammit, I forgot I have to do my column today." I told Steve as I stuffed my face full of hot off the stove chicken flavored Ramin.

"What's this gotta do with me?" He responded.

"You love my witty and intelligent critiques"

"Dude, all you ever talk about is how you're boyfriends with some foreign band and how you plan on taking them to the prom. So gay. And you aren't even gay. You are just talking none sense"

"So, you're saying I should try writing in a new style?"

"Couldn't hurt."

*******

So here it is, the NEW and IMPROVED "Burning Bridges and Making Friends".

When I started writing reviews at Maximum Rock'n'Roll five glorious years ago, I was thinking to my self, "If there is anyway for me to find out where the action is it's right here, in the halls of greatness and amongst the archives of history." This gig was gonna send me smack right dab in the middle of the action. I was gonna be surrounded by girls, interesting people and at the very least, stacks of great records. So here I am, five years later, still walking these halls, still in awe of the archives, Pepsi in hand, wondering, "Where the hell is the action!?" I look to the non-existent swarm of females. Nothing there. I look to all the interesting people I keep company with; they are too busy watching the Kings game. The stacks of great records I have received over the years; though they are smaller stacks than I dreamt of, they are my only source of action these days. But in the end all that really matters is the records. As I sit here in my cold, unheated apartment, it's the action that's in the grooves of these records keep me warm. They keep my spirits up like gym socks as girl after girl stomps on my heart like a piece of chewing gum and I'm forced to be stuck on them forever more. They are the sound tracks of my treks to the store to get more and more Pepsi and cigarettes. They sum up my wasted days sitting home wishing the action was here with me making me a grilled cheese sandwich and maybe a taco. The power pop, the garage, the pop punk, the new wave. That's what makes it all worthwhile.

People ask me all the time what power pop is exactly and I can never fully describe it. I wanna tell them it's the music made for the guys in polka dot shirts and skinny ties who are still upset the Beatles ditched their suits. For the girls who are wishing they were Debbie Harry as they sing into their hairbrushes in front of the mirror. For the kids who were too cool for pop, and still needed some pop with their punk. That's what power pop is. But instead, whenever I am faced with that question, all I ever say is, "it's the kinda music that collects dust in the bargin bins at Amoeba until a few hopeless romantics like my self and a few others rescue them from their tombs of obscurity. It's the music of my people". Power pop is KEVIN K & THE REAL KOOL KATS and their split single with the NEUROTIC SWINGERS. Straight from the dustbins of history Lollipop records have given us two incredible bubble gum delicious tunes from Mr. K and co. For those of you who don't remember or never knew, Kevin was one of rock and roll's lesser known historic figures, sharing the stage with the RAMONES, DEAD BOYS and JOHNNY THUNDERS back in the day with his bands the TOYS, the NEW TOYS and ROAD VULTURES, he's still around and popping out classics. His raspy and soulful voice reminds me of the greater aspects of glam and bubble gum. He sings John Denver's "Leaving On A Jet Plane" like he means it. He knows where the action is. He had the action right there in his hands and she slipped away, but he got a great record out of it.

The NEUROTIC SWINGERS side is equally as impressive if not more so. They aren't nearly as sweet and warm, but that doesn't mean they are any less catchy. They know how to write a hook and they wear their influences on their no existent sleeves; the hay days of Crypt and Rip Off, the keyboard lines of the late 70's and early 80's power pop bands. They sound like the HIVES hanging out with the BRIEFS flipping through old issues of Cream and Sniffin' Glue. Their collars are flipped up showing the lipstick stains from the night before and all their glory. Their plastic sunglasses keep the cool for oozing straight out of their eyeholes. Their LP, "Artrats!" is more of the same only better. "Artrats!" is enough to make me forget about that whole freedom fries thing and extend my hand in friendship to these Frogs… err, I mean French gentlemen. One listen to either of these pieces of genius transports me to a place where the pinball is always free, the Pepsi is free, the girls are fabulous and everyone is well dressed. Find out what all the fuss is about... (Bobby Manic)

NOW WAVE Novembre 2003

Wow. Wow! Wow!!!! Holy hell, what’s up with all these GREAT fucking French punk bands? Last week, the Hatepinks were kicking my ass. And now the latest from the Neurotic Swingers is tearing up my stereo and reaffirming my belief in that thing called rock n’ roll. Good lord, I’m impressed! How do you say “awesome” in French?

I wasn’t too overwhelmed the last time I heard these guys. I thought the songs on their split 7” with Kevin K. and the Real Kool Kats were just kinda so-so. But this new album of theirs...whoa, it’s something else! Really. 100 % killer punk rock in the tradition of The Saints, Dead Boys, Heartbreakers, Boys, and early Damned. Loud, raw, super-catchy rock n’ roll that recycles the cool-ass thump of 70s punk with the reckless energy & insolent fuck-you attitude of Crypt/Rip Off garage rawk. Truly first-rate stuff all the way. Dare I say it’s almost as good as that Kidnappers LP? Well, yeah!

Bobby Manic’s description of the Neurotic Swingers (“They sound like the HIVES hanging out with the BRIEFS flipping through old issues of Creem and Sniffin' Glue”) is dead-on. ArtRats doesn’t pretend to be original, innovative, or novel. Instead it just brings the rock, and it does so with all the refined subtlety of a swift kick in the head. Bravo!

When it’s not done well, rock n’ roll music can seem silly, stupid, redundant, dull, or ridiculous. But when it’s played the way it’s supposed to be played, it’s the best music ever. This album is a case in point. From the very first note of the knockout opener, “Party Killer”, ArtRats had me tapping my feet, bobbing my head, jumping around, screaming “Hell, yeah!”, waving my fist, cranking up the volume, reaching for my whiskey, and giving the finger to any passersby inconsiderate enough to try and get in the way of my good time. So screw all you flag-waving, French-hating, chest-pounding inbred nationalist douche bags.....France rocks!

---Lord Rutledge, opinionated asshole

Psychotic Reaction December 2003

Uou!!! Very nice garage punk album!!! Ok, i know that sounds a little like the Mtv Punk or the mix between a Rip Off release and Rancid, but what a fuck!!! it rocks!!! since the first track to the last! and a comercial punk band don't cover the french Dogs!!! For the people that thing the other stuff suck or isn't a lot i must say that i'm with them but i like a lot this album i hear this around one time per day... this is garage punk not a la rip off but near, it is more profesional probably.. but have the same things: fast, melodic and catchy! all the things i look in a record! All the tracks are good but my favs are "Girl in a broken car", "Party Killer", "See that Girl" and "Losing my Soul" but in special "See that Girl" uoah! i'm impressed with this album... now is time for you stupid garage punky boy if you don't like this is because you are too cool for accept that a record of this type is one of the releases of the year, i say it again ArtRats rocks! (Raúl Cote)

Ear Candy December 2003

The punk rock fairy must have put in some overtime this month. Another cool release from Lollipop! Hey, I'm really beginning to dig this label. "Artrats" is chocked full of by the numbers punk rock songs but the intensity that these guys put in the delivery take the songs to a whole new level. "Girl In A Broken Car" rocks with a vengence as does "Go Back Home". Sex Pistols, Clash, Ramones as well as Vines, Hives and White Stripes fans should dig this ten song old school punk rock workout. "We accept you! One of us!" "Gabba, Gabba, Hey!"

OX #53 Decembre 2003

"Do you wanna shake ?" - mit dieser Frage eröffnen die Französen NEUROTIC SWINGERS ihr neues 10-song-Album, und man müsste schon komplette taub oder mit seinen Füssen in Beton gegossen sein, um diese Frage zu verneinen. Klar will ich schütteln, vor allem, wenn man von den Herren aus Marseille mal wieder so stilvoll dazu aufgefordet wird. Was dem Bonzenpack auf dem Wiener Opernball Frack und Handschuhe, sind dem Punkrocker Lederjacke und Chucks sowie die dunkle Sonnenbrille im Gesicht, und wer seine Lektion von Dead Boys über Heartbreakers bis zu Ramones und Sex Pistols brav gelernt hat, aber auch aufmerksam den Devil Dogs und New Bomb turks gelauscht hat, der macht dann eben auch irgendwann selbst solche Musik. Das ist grundsolide und alles andere als das Ergebnis dessen, wenn "Kunstratten" Musik machen -schliesslich haben die Neurotic Swingers nicht mal ein "The" im Namen, aber dafür ein Baguette unter der Achsel. Ist doch auch was, n'est-ce pas ? Trotzdem, diese kritishe Anmerkung sei erlaubt: das gewisse Etwas, das fehlt mi immer noch. Joachim Hiller

Moloko Plus Decembre 2003

Die neurotic swingers spielen punkrock genau so, wie ich ihn am liebsten höre: treibendes schlagzeug, kräftig-aggressive gitarren mit prägnanten harmonien, dazu schön bassbetont und einem rotzigen shouter, dem man abnimmt, worüber er singt... kurzum, die neurotic swingers gehören nicht erst seit heute zu meinen französischen lieblingsbands, und wenn du auf originellen puren punkrock ohne gitarrengefrickel oder schweinerockattitüde stehst, wirst du von diesem album mit sicherheit genauso begeistert sein wie ich! tr

No Tomorrow Novembre 2003

Se lleva el art-punk, parece, así que antes de que nos salga por las orejas, será cuestión de separar el grano de la paja. Grano del bueno desde Marsella es lo que tienes en el debut de los NS. Una bomba de punkrock melódico a la Generation X / Buzzcocks / Ramones con un toque de Saints.

Oor November 2003

Er schijnt weredwijd een wedstrijdje gaande te zijn : wie mag er met de erfenis van de Devil Dogs vandoor? Het Franse Neurotic Swingers doet een gool naar de titel. Maar gelukkig voor hen ens doen ze meer dan oude klassiekers naspelen op hun eerste volwaardige album. Goeie nummers schrijven bijvoorbeeld en ze dan zo neerzetten dat de sneer van de punkrock precies goed in het tempo valt. Sowieso, het zijn geen idioten, dez jongens. Zelfs over de gitaarvervorming is eindeloos nagedacht. Voor elk nummer wordt de Big Muff net even anders afgesteld. Dat voorkomt platitudes en nare bijsmaakjes. Grootste troef van de band is frontman Steph lollipop, die als zanger ronduit een veraderning in deze hoek van de muziek genoemd kan worden. Punkpathetiek, het betere drama, zuiverheid en smerige uithalen, alles weet deze birljante schreeuwlelijkerd perfect te doseren. Een superband. (Nanne Tepper)

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