KEVIN K & The Real Kool Kats "Kiss of death"
(CD 14 tracks / LP 13 tracks - Lolli28) :
CD 15 Euros
LP Sold out

Kiss of death - Streetology (only on CD) - Do you wanna kiss - L.OV.E - Too much Conny - Ain't it fun - Escape - Can't laugh - My girlfriend anymore - Street luck charm - Ring your neck -Road to ruin - Together forever - These boots are made for walking

PRESS

FRENCH : Melodick / Kerosene / Punkrawk / 442eme Rue / SDZ /

ENGLISH : Now Wave / Ear Candy /

GERMAN : Moloko Plus /

MELODICK Nov 2003

Je disais le plus grand bien du split ep de Kevin K/ Neurotics, le mois dernier, l’album est dans la continuité. Kevin K fait partie d’un autre temps, celui des Nikki Sudden, Dominic Sonic, Freddy Lynxx et autre fan de Johnny Thunders. La hargne est mesurée, la voix est douce et ne faiblit pas, les rythmes sont RnR sans être agressifs…

Kevin K fait partie de ces gens qui savent que jouer vite n’est pas un gage de crédibilité et que le vrai rockeur est classieux, pas dément. C’est donc un parfum de nostalgie qui anime ce disque de part en part.

Un parfum doux amer pour ceux qui savent qu’une paire de shades et un costar noir seront toujours plus efficaces que des poses et des hurlements. Cette idée de looser magnifique trouve son paroxysme dans le fabuleux « road to ruin » (clin d’œil aux frangins), tandis que la ballade « together forever » serait un hit parfait pour midinettes si seulement Kevin n’avait pas cette tête d’anorexique et ressemblait aux beaux gosses trimballant leur skate comme si il s’agissait d’un sac à main. Bonne reprise du hit de Nancy Sinatra. Cet album est un véritable ovni qui fait chaud au cœur, lave les oreilles et mesure le temps qui passe par Bob « nostalgia » Morlock.

PUNKRAWK Nov 2003

Voyez comme la nature est étrange. Lorsqu'on a parlé de ce disque avec Patrick foulhoux, il n'était pas du tout emballé. Pourtant, moi qui le connais depuis longtemps, j'étais persuadé que c'était sa came, ce rock'n'roll glorifié par Johnny Thunders, les Heartbreakers et autres Jeff dahl. Ben non, il aime pô. Trop commun. Alors que moi qui n'ai jamais réellement aimé ce genre si connoté, eh ben, j'adore Kiss of death. Certaines chansons sont irrésistibles, ciselés dans des mélodies somptueuses et mélancoliques que la voix de Kevin se charge d'intensifier (FF)

KEROSENE N°2 Nov 2003

Kevin K est un vieux rocker bourlingeur, profondément marqué par ses années de jeunesse passées à fréquenter les concerts des Ramones, de Pat Benatar, du Gun Club et consorts. Les Kool Kats est le nom de son " backing band " français au QG nîmois. Hey, sur la photo, j'ai reconnu sous le sobriquet de " Jack O ", le tout premier bassiste de Drive Blind, ici à la guitare. Les amateurs de Jeff Dahl, Freddy Lynxx et autres Joey Ramone seront aux anges. Les mecs plus, humm, " modernes " ne seront peut-être pas emballés par autant de glamour. Car finalement, cette zique-là n'est pas si punk-rock que ça, la voix est claire et les mélodies finalement ciselées. Sur le split single, Kevin K signe une " Melody " au rythme enlevé et une ballade pop-ramonesque (pour être honnête, j'en tâcherais pas mon Lee Cooper) alors que les Neurotic Swingers sonnent de suite plus énervés, un peu comme si nos regrettés TV Killers avaient enfanté quelque descendance avec The Hives (Gwardeath) On commence par le label de la planète de Marseille, Lollipop Records qui attaque la rentrée pied au plancher avec une brouette remplie à ras bord de nouveaux skeuds : Kevin K & The Real Kool Kats (" Kiss of death "), du vrai punk rock, sans fioriture et gorgée de belles mélodies, dans la droite lignée de Freddy Lynxx (Avec qui il a déjà collaboré) et bien sûr de Johnny Thunders et de ses cœurs brisés… J'écoute cette galette en boucle, les chansons sont à tomber par terre et la voix me propulse dans les nuages… plus frais, tu peux pas !(Nasty Sam)

442eme Rue Dec 2003

Kevin K est un survivant des guerres new-yorkaises. De celles qui ont laissé sur le carreau Thunders, Bators ou une moitié des Ramones. Il y a chez le bonhomme une apparente fragilité qui ne laisse pas d'étonner chaque fois qu'on le retrouve, toujours là. Une fragilité qui transparaît dans sa voix qui ne semble jamais tout à fait assurée, jamais tout à fait capable de finir ce qu'elle a commencé, jamais tout à fait certaine qu'elle ne laissera pas son propriétaire en plan au beau milieu d'un refrain. Et pourtant Kevin K parvient encore et toujours à nous mettre à genoux avec son rock'n'roll punky tendance glam qui, s'il n'a l'air de rien à la première écoute, se fait méchamment insistant dès lors qu'on prend la peine de remettre l'ouvrage sur le métier. Oui, Kevin K il faut le mériter, ne pas s'arrêter à ses mélodies parfois douces-amères ("Ain't it fun", "Can't laugh" plus thunderien que nature), à ses harmonies parfois trop graciles pour des punk-addicts, il faut gratter au plus profond de ses émois urbains, au plus près de l'os ses histoires de fond du fond d'une humanité qui n'en a plus, parfois, que le nom, chercher dans ses riffs le point de jonction du rock et du punk ("L.O.V.E."), un point de jonction indiscernable et mouvant, mais le plaisir est toujours au bout de la quête.

SDZ Dec 2003

Kevin K, l'un des derniers vrais rockers de l'underground new-yorkais (comme le proclame son site web) est toujours là. Même si le bonhomme est surtout actif depuis le début des 90s, sa carrière discographique a débuté en 1981 en tant que batteur des Toys, l¹un des groupes de son frère, Alan K. Mais il est avant tout guitariste, notamment au sein du Kevin K Band, groupe à géométrie variable en scène depuis 1995. Ce « Kiss Of Death » est un album de punk mature. On ressent l¹héritage des idoles devenues amis telles que Johnny Thunders, les Ramones et les Dead Boys mais le spectre musical abordé se veut plus large. Ainsi, des morceaux purement punk comme "Street Luck Charm", "L.O.V.E." ou "Ring Your Neck" sont mêlés à de sympathiques ballades électroacoustiques. Cela dit, les meilleures compos sont les titres midtempo, basés sur de belles mélodies, tel le titre éponyme sur lequel un harmonica pointe le bout de son nez. Le disque se finit par une cover de "These Boots Are Made For Walking" de Lee Hazlewood. Preuve que l¹univers de Kevin K est beaucoup plus que simplement punk. LL

NOW WAVE Nov 2003

If Johnny Thunders and The Beatles had ever gotten together and made a record, it probably would have sounded an awful lot like the latest from Kevin K and the Real Kool Kats. Mr. K (ex New Toys/Lone Cowboys/Road Vultures) has been around forever and possesses the tenacity of a cockroach. He’s a true survivor and a hero to beat-down rock n’ roll romantics the world over. He’s pulled a Jerry Lewis and found adulation in France. He’s not young & good-looking, so don’t look for him on the cover of your favorite trendy rock magazine. But this mofo can play guitar and write a song better than any overhyped, flavor of the month pretty boy rockstar you care to name. Those of you who realize that the MUSIC is what really matters will want to put Kiss of Death near the top of your “albums to buy” list.

Kiss of Death is an album that grizzled punk oldsters & lovesick pop geeks alike will dig. It kicks off with a couple of trashy rock n’ roll gems in the classic Heartbreakers/Stones mold. Not a bad start, but the best is yet to come. With a couple of exceptions, the rest of the album is pure POP (and I mean that in a good way!). Really catchy choruses, well-crafted hooks, melodic guitar lines, tuneful chord changes, “pretty” sounding vocals.....Essentially, this is power pop played like old school CBGB punk. Back alley guts with popstar heart. Ramones grit meets Raspberries melody. Fans of the Trash Brats, Beat Angels, Jeff Dahl, and Candy will be instantly hooked by perfect gutterpop gems like “Escape”, “Ain‘t It Fun“, and “My Girlfriend Not Anymore”. God damn it, “L.O.V.E.” is stuck in my head, and I can’t get it out!

The “industry” isn’t “buzzing” about Kevin K and the Real Kool Kats? So what? Fuck the industry. Fuck the hype-driven, lame-ass shit it tries to sell you. If you wanna be hip, you can go buy the “hot” disc of the moment. If you wanna hear great pop songs, check out Kiss of Death. It hits the spot like ice-cold Coca-Cola or quickie sex over your lunch break. ---Lord Rutledge, opinionated asshole

EAR CANDY Dec 2003

Kevin K is a dead ringer for the late great Dead Boy Stiv Bators and "Kiss of Death" sounds like Stiv during his Bomp years. The great thing about this record is Kevin K has as much love and respect for rock n' roll as Bators did and it shines through on every track. "Ain't It Fun" is exactly that with it's Leader Of The Pack lyrics like "I met her at the pizzeria.That sweet senorita.I knew I had to meet her. Extra cheese on her pizza." This sounds corny but he pulls it off and not only does he pull it off but you'll be singing along with him after a couple of listens. 'Road To Ruin' is the coolest Ramones tribute I've ever heard and every punk band worth their salt should add it to their set list. I've been playing this for two days straight and I still love it. Even the cover of "These Boots Are Made For Walking" sounds cool.

MOLOKO PLUS Dec 2003

Der Mann kann einem leid tun: seit Jahren liefert er wunderschön melancholische Punkrock-Perlen am Fließband, jedes Album ist von erhabener Schönheit, die Texte ergreifend, die Stimme prägnant - und doch kennt ihn kaum einer! Weil aber die Welt ungerecht und schlecht ist, wird sich das nach "Kiss of death" leider wieder nicht ändern, was seinen Anhängern, zu denen ich an vorderster Front zähle, Grund genug sein wird, ihn noch mehr zu verehren. Ich möchte an dieser Stelle feststellen, daß die immer wieder gerne gebrauchten Vergleiche mit Johnny Thunders hinken: Kevin K ist nämlich Welten besser! Und hat sich auf den acht Platten, die ich mein eigen nenne (es gibt noch viel mehr!) nicht einen einzigen auch nur durchschnittlichen Song geleistet, was man von Herrn Thunders beileibe nicht behaupten kann. Befehl vom Führer: kaufen! Sir Paulchen

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